Jean Michel Daumen fait son charivari

C'est grâce à la bienveillance de Muriel Feugère, qui a mis à ma disposition sa galerie, à l'aide de Lou ma femme qui m'a accompagné dans le travail de préparation, et au coup de main de mon vieil ami Hubert pour l'installation que cette expo a pu se tenir de juin à fin juillet 2025.  Je suis né ici dans l'eau, pourrait-on dire. J'ai besoin tous les jours de verifier que la mer est bien à sa place, et je prends des photos . Donc la mer, les passants qui passent, les baigneurs, les bronzeurs, les coureurs les marcheurs et les autres accompagnent ce charivari marseillais. Pour les curieux , ce qu'en dit la presse c'est en bas de page. 

Le Vernissage

  • Les photos c'est bien, mais boire au frais .....

La Corniche en couleur.

  • Melanomia
  • L Appel
  • Fraternels
  • L Envers Des Choses
  • Coureur Du Vallon
  • Flanerie De Paille
  • Orange Du Bonnet
  • Mistral Gagnant
  • Durs A Cuire
  • Pêche A La Raie
  • Iphone, Mon Bel Iphone
  • Ah Ce Chapeau
  • Hopper...Ienne
  • Si Je T'aime Prends Garde A Toi

Et en noir et blanc !

  • Coup De Tabac En Rade Nord
  • Catalans Dans Le Vent
  • L’ouest Frappe Au Maregraphe
  • Ca Creuse A L’helice
  • Fiat Lux
  • Vague ? La Mer.
  • Sous Le Soleil Exactement
  • Princesse Des Pagodes
  • Avec Des Fleurs
  • Striee Du Matin
  • L'ete Passe Vite
  • Initiatique
  • De Quoi Il(S) Retourne(Nt)
  • Ce Qu'a Vu L'homme

Et le contraste!

  • Ombres en fuite.
  • Ne Reveillez Pas L’homme Qui Dort
  • Elle Avait Les Jambes Croisees Et Je La Trouvais Nonchalante
  • Marche à l'ombre
  • La sortie n'est pas en haut.
  • Marathon man.

Rescapés d'une précédente expo:Les PasLégumes

La presse.

La Marseillaise 

04/07/2025 David Coquille

 

La Galerie Charivari, 17, rue Fontange à Marseille, expose le photographe,
Jean Michel Daumen. Ce médecin marseillais prend depuis des décennies,
le pouls du cœur battant de Marseille, qu’il situe sur la corniche Kennedy,
qu'il arpente avec la discrétion d'un Jean-Louis Sief, ou d'un Mario Giacomelli  ses maitres, pour croquer des séquences de vie singulières.
Son regard poétique, ironique et toujours bienveillant, raconte cette humanité, méditerranéenne, faite de rires, de rides, de tatouage, de selfies.
Son Fuji capture le soleil de nos vies. Ici le port de tête souverain,
d’une touriste asiatique à l'ombrelle. Il est là quand une rafale de mistral 
soulève une jupe et emporte aussi les oreilles du teckel de sa maîtresse
 et cette déesse rouge qui défie les passants depuis le balcon de l'hôtel Perron.
Puissant et magique, c'est jusqu'au 31 juillet., 

D.C.  La Marseillaise 4/07/2025